L'Arrivée [fini]

Intro


Le Prince Charmant...

Combien de Jeunes Filles, de Jeunes Femmes ont rêvé de ce fameux Prince, les emportant sur un Destrier étincelant?

Ce mythe dépasse les frontières sociales. Que l'on soit fille de joie, paysanne ou Reine, toutes, toutes l'appellent de leurs vœux.

Par la suite, un nouvel exemple vous sera décrit. Et vous pourrez comprendre, pourquoi certains, ici, ont un statut qu'apriori, ils ne méritent point.
Certaines... Accointances, seront dévoilées, et la Vérité éclatera.
Elle sera belle mais douloureuse.

Élément perturbateur.


Rêver de son Prince. Rêver de sa Reine.
Les rêves, l'espoir. Tellement humains.
Qui parfois, peuvent étrangement ressembler à la réalité.

C'est ce que nous allons compter ici.


Il y a quelques temps, une jolie princesse fut enfermée. Pour des raisons... finalement peu importantes.
Mais, ce long séjour ne fut qu'une chrysalide.
La belle princesse,bientôt, ne fut plus. Pour faire place à une Reine.
Une Reine Libre, mais point Libérée.

Tous, devant elle, s'inclinaient, écrasés par sa beauté, son charisme et ses paroles.


Mais, pour la jeune Altesse, l'absence du Prince se faisait ressentir.
Une faim la tiraillait, une soif la brulait, inextinguible.
Pour combler ses rêves, des gens se réunir. De divers horizons.

Des vieux empereurs, des chevaliers, des joueurs des Blitzball...
Elle s'entoura, rapidement. Certaines étaient, presque, ses égales.
Cette confrérie, peu sectaire, la considérait néanmoins comme son gourou.
La soif, l'envie, le désir couvaient toujours les rêves de la Dame, et leurs feux couvaient toujours dans son coeur.
Mais la brulure, entourée de l'amour ouatée de ses proches, la réchauffait, ne la troublait plus.

Mais, la quiétude spirituelle et sensuelle ne pouvait durer éternellement.

Le Vieil Empereur présenta un Lancelot.

Les chimères d'une réalité sans rêves se fissurèrent.

R - Évolution


Parfois, souvent, ce que l'on voit est différent de ce qui est.
C'est la raison même de la beauté de l'avenir. Il est prévisible, et prévu.
Pourtant surprenant.

Continuons sur cette voie, donc...



Certains, au premier abord, ne purent comprendre l'arrivée de ce fringuant jeune homme.
Il se disait tour à tour pirate, diplomate, compteur, et chevalier.
Parfois charmeur, parfois charmant.
Néanmoins, plus beau parleur que membre du parlement.
Non que les compétences manquaient, mais l'expérience, cette donnée si importante, acquise une fois seulement que son besoin n'est plus, lui faisait défaut.


Certains, au second abord, crurent le cerner.
Erreur, au vue de certains Conseillers provenant de RATs.
Erreur, au vue de l'alléchante, presque indécente, proposition qui lui fut faite par l'Une, mais, à son regret... Ce n'était pas la Dame elle même, il ne pouvait accepter.

Les ragots, néanmoins, furent rapides à se propager.
Elle aurait été courroucé de ces cachoteries.

La Dame, la Reine, néanmoins, fréquemment, l'interpellait.
Fréquemment, l'informait, parfois dans ce mépris total de la hiérarchie qu'Elle seule pouvait se permettre.
Las, il en prit l'habitude, au point de se révolter quand il se sentait oublié.
Que d'Impudances !

Mais... Il était dit qu'elle ne pouvait le blâmer.
A moins de renier ce qu'elle découvrait, ce qui la découvrait.
Et ce feu, intérieur qui n'était visible qu'au travers ses yeux, qui couvait, ne pouvait être renier. Ne pouvait être dénier.

Seul celui du Lac, pourrait., non pourra... Et s'exécutera.

Haute Résolution.

Il est fréquent de laisser ce qui ne devrait l'être. Bien que regarder derrière soit aussi simple que regarder l'avenir, le Prince se doit de se tourner vers l'avant.
Se retourner peut briser un cœur comme la hache d'un barbare un bouclier. Mais, le gain peut être infini, lorsque les Trésors - inestimables - sont retrouvés.

L'épopée se doit de continuer.



Il advint que la Reine, s'ennuyait. Il faut dire qu'il n'était point présent. Mais plutôt que de se languir, elle décida d'organiser un voyage.
Non pas une visite d'agrément, ou quelques platitudes diplomatico touristiques, mais des sensations fortes.

Il était une rivière, tumultueuse et folle. L'eau, cristalline, sautait, dansait, riait dans de petites cascades, chutes à pic, et s'amusait à tourner la tête aux rochers. Le spectacle réjouissait tout à la fois l'œil et l'ouïe.

Mais, il était une Beauté humaine, qui, donc, décidait de défier cette rivière.

Du bois flotté. Quelques peaux et ligaments, du savoir faire ancestrale, et on obtient rapidement ce bateau long et étroit qu'une ancienne peuplade appelait, d'un mot rugueux : Kayak.
Néanmoins, la Dame souhaitait ne faire qu'une avec la massive montagne, la tumultueuse rivière et l'eau fraiche.
D'habits simples et léger en lin, elle se vêtit, et arriva près du courant.

Sur une boucle, les rapides ne l'étaient plus, comme pour permettre une incursion à la Belle. Sertissant une jupe entre l'hiloire et ses rondes épaules, saisissant sa double pagaie, la jeune femme plongea dans le courant.

Instantanément, son rire se joint aux cascades d'eau. Quelle vitesse !
Ses cheveux flottaient dans l'air, alors qu'elle même naviguait.
Les rochers, les chutes de quelques mètres, les berges défilaient à une folle vitesse, mais, diantre, que cela était amusant.


Quelque chose n'allait pas. Le jeune homme, tout à la fois Chevalier et Pirate, décida donc d'écourter ses affaires, désireux de comprendre le vide qu'il ressentait.
Io fut rapidement atteinte...

Première chose, les hommages. Il se dirigea donc vers le cabinet du Majordome, par ailleurs maitre des cérémonies. Mais la Reine n'était point là.
En voyage, fut la seule réponse que l'organisateur officiel du palais, pouvait donner.
Un mélange d'inquiétude, de curiosité et de défi parcourut l'échine du fringuant personnage. Il arpenta donc en long et en large, sans même compter les diagonales et étages, le palais, afin d'obtenir des informations.
Finalement, c'est la grosse femme, improbable mélange de Willy et de Maïté, tenancière en chef des stocks de bois flotté, qui fournit un indice capital.

Du kayak. Pour le coup, le curiosité et le défi désertèrent l'esprit du jeune homme. Dans sa chambre, il prit la couverture. Dans les écuries, un cheval, qu'il monta cru. Et il tonna à sa monture de passer par le lac, pour remonter le seul torrent qu'il jugeait suffisant pour la Dame.



Peu avant le lac, les rapides devinrent plus larges, ralentissant et tournant lascivement. La Reine, n'y prêtant plus attention, ferma les yeux, se laissant au soin de l'Astre, pour se réchauffer. Mais il n'est jamais bon qu'un rapide ralentisse.
Un bruit sourd éveilla la douce demoiselle. Les chutes d'Io, aussi vertigineuses que celle de ses propres reins, approchaient.


D'un geste rapide, il jeta sa couverture sur la berge, aiguillant le hongre pour qu'il plonge avec lui. Une gerbe scintilla, créant des millions de petits arc en ciels, alors que le Chevalier, délaissant sa monture, fila dans les ondes. Il repéra rapidement, dans l'eau si claire, la silhouette fine de sa Reine, semblant voler.

Doucement, il l'attrapa par la taille, avant de crever la surface, et de la regarder, inquiet. Fraiche et pale, elle ne bougeait pas.
Sur les rives, il l'enveloppa dans la couverture sèche.
Il se pencha sur sa Reine, effleurant les lèvres bleues de la Dame.
Ce contact, électrisant la jeune femme, lui fit ouvrir les yeux.
Elle glissa, dans un souffle si chaud :

Mon... Prince charmant.

Situation finale


Quelques mots peuvent changer une vie.
Quelques minutes peuvent tout modifier.
Un amour. Une déclaration. Et tout bascule.

La suite sera la fin.



Mon... Prince charmant.

Le jeune homme, tour à tour et suivant les jours Pirate, chevalier, prince et diplomate, répéta doucement les mots qu'avaient prononcé la Reine.

Mon... Prince charmant.

Ces quelques syllabes roulaient, sifflaient, fuyaient puis revenaient se lover contre le jeune homme.

Les paroles de la créatrice d'une des plus puissantes alliances du Multivers l'avaient troublé, ce n'est rien de le dire.
Déjà qu'il n'en avait besoin pour se sentir... proche de sa Reine, et elle semblait le tenter. Jeu? Il le craignait.
Mais son regard, si profond, si clair... Il avait cru pouvoir, un bref, instant, accéder aux pensées, aux souffrances, aux joies de la Dame.
Avant qu'elle ne ferme doucement ses paupières dans un lent soupir.

Le regard suivant, néanmoins, fut totalement différent.
Un regard de Reine, à n'en point douter. Bien que vétu de ses habits détrempés, Falcry fut transpercé, mis à jour.
Il en était sûr, elle le connaissait maintenant intimement.
Peut être mieux qu'il ne se concevait lui même.

L'Entropien relacha son souffle, portant la main à son front.
Ses pensées, chaotiques, semblaient se fracasser contre son lobe frontal.

Tu es mon Lancelot.

Ces paroles, prononcées sur le retour, alors que le nouveau Chevalier ramenait sur son destrier la Reine au chateau, avait achevé le jeune homme.
Le briser, puis le reconstruire.
Le changer, puis le regarder à nouveau.
Elle lui avait tiré une langue mutine avant de se serrer contre lui, se rechauffant.

Il était seul dans sa chambre. Les hauts murs de pierre semblaient si froid, si glacial.
Falcry se releva, pris d'une inspiration soudaine. Il le devait.

Quelques couloirs plus tard, le Pirate-Chevalier se trouvait devant la Chambre, contenant le tremblement de sa main alors qu'il s'appretait à frapper à la porte d'Audrey...

Dédicace à Audrey, ma belle, ma douce.
Notre belle, notre douce reine !

Tout ce qui est écrit est, ou sera vrai !
Preuves à l'appui, si besoin est !

Divers screens shots que je peux mettre à disposition.

Explications hrp pour manu.

Au début, dans l'élément perturbateur :
Je raconte à ma façon, dans un premier temps, le RP de création de l'alliance. Puis, mon introduction grâce au vieil empereur (Pepez).
Notez les références explicites à Tioto (avec le joueur de BlitzBall ^^) et à Chevalier Colombo.

Ensuite, dans l'évolution :
Je commence par le fait que personne n'avait compris mon rp ^^
Puis la gentille proposition de Rachel de me confier un meilleur compte
Je dis ensuite que je discute fréquemment avec Audrey, et qu'elle me donne souvent ses impacts avant de les poster, si je suis en ligne à ce moment.
D'où mon "ralâge" pour rire une fois sur le forum. Transcrit ici en RP.

Haute résolution :
Là est le cœur du récit. Là est le point d'origine de ce texte.
Pour rire, avec Audrey, alors qu'elle comptait faire du kayak, je lui ais dit de pas faire de bêtises. Puis que si elle avait un problème, je viendrais la chercher.
Elle m'a répondu "mon prince charmant" (j'ai les preuves :p)
J'ai donc commencé ce RP, sur plusieurs jours.
Ici, hormis ses paroles, tout n'est que pure imagination (rêve? :p)

Dans mon dernier passage, situation finale, je rappelle qu'elle m'a appelé une fois Lancelot sur msn.
En vrai, c'est une arnaque, j'avais parlé de Lancelot précédemment dans le premier post que vous avez lu.
Mais bon, j'écris, j'ai donc le droit de manipuler le temps à ma guise

Je finis par aller voir Audrey. Je vous laisse deviner si ce passage est littérature, phantasme, ou réalité.

Falcry a écrit:

Situation finale


contenant le tremblement de sa main alors qu'il s'appretait à frapper à la porte d'Audrey...
[/i]

cochon....

cet koi tou sa trop a lire pour moi tu pe explique en quelque mo

C'est plutôt que tu ne sais pas lire lol

Non je rigole

Attend y a un blem tu met que c est la fin mais que dalle ,je suis pas content la ,je gueule ,le proteste ,je m insurge ,rembourser moi mon inscription ,on veut savoir ce qui se passe aprés que tu es frappé a sa porte ,on veut savoir la vraie fin ,on veut savoir si elle t autorise a entrer dans sa chambre ou si elle t envoie chez les belges (heu nan pardon elle est dja Belge ) ou si elle te renvoie chez les Chinois voir si elle y est ^^

PS pareil que Djo pour la main qui tremble Cochon va ^^

A vous de deviner
.
.
...

Allez, un petit indice !
Le passé n'a que peu de valeur. Le futur, peut être, en aura.
Seul le présent est réellement précieux. C'est pourquoi cette histoire s'y arrête.

PS :
Et Manu, Bordel de mouette, fais un effort sur l'écriture dans la partie RP :S
Au pire, tu me mp avant que je te corrige ^^

PS2 : j'sens que je vais demander officiellement à être modo grammaire ortho de Manu ^^"

raaaaah tu veux rien lâcher t es têtue ,vais devoir demander la fin de l histoire a Audrey mdr

elle risque d'être chaude la fin de l'histoire si c'est moi qui la raconte ...

bouge pas je vien te voir sur msn ^^

moi je peut raconter une histoire

oula il n'y a qu'une faute dans la phrase de manu

Quatre, à vrai dire. Il manque un point, une virgule, une majuscule, et évidement, la conjugaison du verbe pouvoir est... Originale. :p

Tete-2fion a écrit:

elle risque d'être chaude la fin de l'histoire si c'est moi qui la raconte ...